Après la dissolution de sa troupe de théâtre, la jeune Dagny (alter-ego de Hennings) se retrouve à Cologne, une ville qu’elle ne connait pas, seule, sans le sou, ni aucune perspective d’avenir. Elle y croise par hasard un ancien ami comédien, devenu souteneur, qui l’introduit dans un « café » de la ville. Pour Dagny, artiste idéaliste, naïve et pétrie de religiosité, c’est le début d’une plongée brutale dans un monde dominé par les hommes, où tout s’offre et se paie, à commencer par le corps des femmes.
Emmy est chanteuse, et elle compte bientôt partir se produire à Paris. Mais deux policiers débarquent chez elle un matin et la convoquent au commissariat, pour une raison qu’on ignore. Placée en détention provisoire pour un motif obscur, Emmy se retrouve brusquement plongée dans un enfer carcéral dont le seul but semble être de détruire sa soif de liberté et d’indépendance...
Un récit bouleversant de sincérité et d'humanité.
Frank Dominio est un homme asocial, peureux et paranoïaque, parvenu malgré tout à se hisser au poste de chef de service dans une grande entreprise. Il survit tant bien que mal dans cet environnement hostile, au prix de mille lâchetés quotidiennes. Mais quand Frank soumet une idée révolutionnaire à son supérieur, ses collègues se liguent contre lui et le poussent à bout pour le faire licencier et lui voler son idée. La violence de Frank se déchaine, et, aidé par une force mystérieuse qui le dote de pouvoirs quasi illimités, il raffine sa vengeance pour faire payer à chacun de ses bourreaux des années de honte et d’humiliation.
Surnommé le « Roi du gadget », et connu principalement pour ses machines farfelues aussi complexes qu’inutiles, William Heath Robinson (1872 - 1944) est l’un des dessinateurs anglais les plus importants et les plus influents du 20e siècle. Mais s’il est une référence incontournable outre-Manche, il reste hélas trop peu connu chez nous.
Publié en 1969, Roman géométrique de terroir ne ressemble à aucun autre livre. Entre la satire, le roman expérimental, la fable politique et le poème, il décrit la vie d’un village aux mains d’une bureaucratie obsédée par l’ordre, les règles et les questionnaires.
Mais cette volonté de rationalité et de contrôle est battue en brèche par de mystérieuses forces extérieures qui viennent répandre le chaos, balaient les habitudes, disloquent les maisons, et font basculer le village et le livre dans une folie incontrôlable.
Dessins métaphoriques sur la bureaucratie et son fonctionnement parfois absurde, livres «mode d’emploi» sur l’architecture des années 1930, détournements humoristiques de l’usage des armes militaires, ode au hasard et à l’imprévisible: l’artiste anglais William Heath Robinson (1872-1944) dresse une caricature poétique et fantaisiste de la société britannique de la première moitié du 20e siècle.
Dans ces trente-quatre très courts textes, les personnages de Linor Goralik se tiennent toujours sur un fil, au bord de la folie, de la maladie et de la mort. On ne connait jamais leur nom, on ne sait presque rien d’eux. Mais on se retrouve brusquement à leurs côtés, le temps de quelques lignes ou de quelques pages d’une exceptionnelle densité, et qui nous laissent abasourdis.
Emmy est chanteuse, et elle compte bientôt partir se produire à Paris. Mais deux policiers débarquent chez elle un matin et la convoquent au commissariat, pour une raison qu’on ignore. Placée en détention provisoire pour un motif obscur, Emmy se retrouve brusquement plongée dans un enfer carcéral dont le seul but semble être de détruire sa soif de liberté et d’indépendance...
Un récit bouleversant de sincérité et d'humanité.
Alex Klozevitz est un marchand de rêves prémonitoires. En échange, il ne demande pas d'argent, mais certaines faveurs, comme de le débarrasser d'ennemis encombrants...
Voici le point de départ de ce polar onirique à cent fins, édité en coffrets assemblés et tamponnés par les éditeurs eux-mêmes, et dont tous les exemplaires sont différents.
Vous choisissez votre fin du roman, et votre exemplaire du livre !
Roman culte en Angleterre, d'une impertinence et d'une drôlerie irrésistible, L'homme à Histoire (1975) raconte une année dans la vie d’un groupe d'intellectuels.
Écrit dans une période de réinvention de la vie morale, il pose nombre de questions qui résonnent étonnamment aujourd'hui : consentement, polyamour, écriture inclusive, féminisme radical, écologisme apolitique, cancel culture, emprise... qui le fait souvent paraitre plus actuel que bien des nouveautés.
Il n’y a plus ni animaux, ni végétaux, et la seule nourriture disponible est la viande humaine. Ce qu’il reste de vie s’organise autour des halles, une immense boucherie sur laquelle une caste de policiers exerce son autorité impitoyable, punissant le moindre faux pas d’abattage immédiat : il faut bien approvisionner la ville en viande fraiche.
Entre le trip horrifique des romans de Burroughs, l’exploration de la logique du mal des Bienveillantes et la parabole politique de Matin Brun, Viande est le chef d’œuvre inclassable et sauvage d’une comète de la littérature tchèque.
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La flétrissure – Emmy Hennings
19,70€
Viande – Martin Harnicek
17€
Prison – Emmy Hennings
9,90€
Mon travail n'est pas terminé
Thomas Ligotti
22€
Quelques idées simples pour se faciliter la vie !
William Heath Robinson
35€
Quelques idées simples pour profiter pleinement de son temps libre !
William Heath Robinson – ÉPUISÉ
Roman géométrique de terroir
Gert Jonke – 20€
34 récits très courts et assez courts
Linor Goralik – 15€
Exemplaire unique – Milorad Pavic
27€
L'homme à Histoire
Malcolm Bradbury – 22€
Prison - Emmy Hennings
ÉPUISÉ
La Sous-Bois – Cristofe Ségas
17€
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Islande – Jim Krusoe
20€
Quand Paul, le narrateur, se rend à l'Institut médical pour soigner son "désordre organogénétique", il ne s'attend pas à découvrir une piscine remplie d'organes. Et encore moins à y tomber fou amoureux d'Emily, qui veille sur eux comme une mère. Paul n'aura dès lors plus qu'une idée en tête : revoir Emily.
Roman d'une liberté, d'une drôlerie et d'une grâce admirables, Islande nous parle aussi avec une sourde mélancolie de notre rapport à la mémoire, à l'imagination, et à la perte inévitable de ce que nous aimons.
An 380 après "Reset". De notre monde ne subsiste qu'un objet : la machine à écrire. Le narateur, qui se fait apeler Perceval, est un "scribe" : acheté par Igriega, saltimbanque devenu chef de guère, il est chargé d'écrire sa vie héroïque et de consigner le quotidien de sa Caravane.
Dans ce roman qui se joue des genres et des codes, Cristophe Ségas emporte le lecteur dans une épopée haletante hantée par nos angoisses contemporaines. Pour doner corps à ce monde où l'écriture a changé, nous avons décidé d'éditer "La sous-bois" en ortografe rationalisée.
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RUPTURE DE STOCK
Gagner sa mort
Griselda Gambaro – 17€
Gagner sa mort raconte l'exploitation et l’humiliation systématique de Cledy, une orpheline qui semble ne devoir connaitre que le malheur. Les responsables de l'orphelinat, puis son mari, sa belle-famille, l’armée… tous et toutes abusent d'elle : elle est violée, battue, contrainte, tordue, sans que jamais personne ne se pose la question de savoir ce qu'elle veut ou pense, sans que jamais elle-même ne se dise que sa vie pourrait être différente. Dépossédée de tout, de son corps, sa famille, ses émotions, son passé, sa volonté, il ne lui reste qu'une chose à gagner : sa propre mort.
Et pourtant, il s'agit d'une farce.
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Frank Dominio est un homme asocial, peureux et paranoïaque, parvenu malgré tout à se hisser au poste de chef de service dans une grande entreprise. Il survit tant bien que mal dans cet environnement hostile, au prix de mille lâchetés quotidiennes. Mais quand Frank soumet une idée révolutionnaire à son supérieur, ses collègues se liguent contre lui et le poussent à bout pour le faire licencier et lui voler son idée. La violence de Frank se déchaine, et, aidé par une force mystérieuse qui le dote de pouvoirs quasi illimités, il raffine sa vengeance pour faire payer à chacun de ses bourreaux des années de honte et d’humiliation.
Il n’y a plus ni animaux, ni végétaux, et la seule nourriture disponible est la viande humaine. Ce qu’il reste de vie s’organise autour des halles, une immense boucherie sur laquelle une caste de policiers exerce son autorité impitoyable, punissant le moindre faux pas d’abattage immédiat : il faut bien approvisionner la ville en viande fraiche.
Entre le trip horrifique des romans de Burroughs, l’exploration de la logique du mal des Bienveillantes et la parabole politique de Matin Brun, Viande est le chef d’œuvre inclassable et sauvage d’une comète de la littérature tchèque.
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À PARAITRE
Surnommé le « Roi du gadget », et connu principalement pour ses machines farfelues aussi complexes qu’inutiles, William Heath Robinson (1872 - 1944) est l’un des dessinateurs anglais les plus importants et les plus influents du 20e siècle. Mais s’il est une référence incontournable outre-Manche, il reste hélas trop peu connu chez nous.
Dessins métaphoriques sur la bureaucratie et son fonctionnement parfois absurde, livres «mode d’emploi» sur l’architecture des années 1930, détournements humoristiques de l’usage des armes militaires, ode au hasard et à l’imprévisible: l’artiste anglais William Heath Robinson (1872-1944) dresse une caricature poétique et fantaisiste de la société britannique de la première moitié du 20e siècle.
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Après la dissolution de sa troupe de théâtre, la jeune Dagny (alter-ego de Hennings) se retrouve à Cologne, une ville qu’elle ne connait pas, seule, sans le sou, ni aucune perspective d’avenir. Elle y croise par hasard un ancien ami comédien, devenu souteneur, qui l’introduit dans un « café » de la ville. Pour Dagny, artiste idéaliste, naïve et pétrie de religiosité, c’est le début d’une plongée brutale dans un monde dominé par les hommes, où tout s’offre et se paie, à commencer par le corps des femmes.
Emmy est chanteuse, et elle compte bientôt partir se produire à Paris. Mais deux policiers débarquent chez elle un matin et la convoquent au commissariat, pour une raison qu’on ignore. Placée en détention provisoire pour « risque de fuite », Emmy se retrouve brusquement plongée dans un enfer carcéral dont le seul but semble être de détruire sa soif de liberté et d’indépendance...
« Un grand magicien de la langue, un des plus grands. Il jouait avec la langue comme les enfants jouent avec des bulles de savon, mais ses bulles à lui ne contenaient pas de l’air, elles contenaient une pensée précise et complexe, et il n’était pas non plus un enfant, même si la langue lui procurait toujours une joie d’enfant. À partir de deux ou trois mots jetés sur une feuille, il savait faire naître tout un univers, tel un musicien de jazz qui, à partir d’un thème simple, crée une improvisation complexe aux multiples ramifications.
L’écouter lire ses propres textes était chaque fois une expérience inoubliable. »
Cette fille dans l’émission avait dit : « Ces militaires sont juste venus à la maison, nous ont dit pour papa et sont partis. J’ai pleuré, mais maman n’a pas pleuré. Je me suis glissée sous le lit et j’ai pleuré, pleuré, pleuré ». Il n’arrêtait pas d’y penser, toute la semaine, ça lui paraissait si bien de s’allonger sous le lit et de pleurer....
Emmy est chanteuse, et elle compte bientôt partir se produire à Paris. Mais deux policiers débarquent chez elle un matin et la convoquent au commissariat, pour une raison qu’on ignore. Placée en détention provisoire pour un motif obscur, Emmy se retrouve brusquement plongée dans un enfer carcéral dont le seul but semble être de détruire sa soif de liberté et d’indépendance...
Un récit bouleversant de sincérité et d'humanité.
AlexSandra Klozevitz est un être androgyne qui tient un commerce particulier : c’est un(e) chasseur(se) de rêve, qui vend à qui le souhaite un de ses rêves futurs. Ces rêves, où les fantasmes se mêlent au mythe, s’avèrent prémonitoires. Mais on ne rêve pas ses rêves futurs sans danger, et, très vite, les morts se mettent à tomber....
Roman culte en Angleterre, d'une impertinence et d'une drôlerie irrésistible, L'homme à Histoire (1975) raconte une année dans la vie d’un groupe d'intellectuels.
Écrit dans une période de réinvention de la vie morale, il pose nombre de questions qui résonnent étonnamment aujourd'hui : consentement, polyamour, écriture inclusive, féminisme radical, écologisme apolitique, cancel culture, emprise... qui le fait souvent paraitre plus actuel que bien des nouveautés.
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